Blogue de perspectives sur les FNB

Les infrastructures privées et publiques sont des actifs d’investissement dont la popularité ne cesse de croître depuis plus d’une décennie.

La plupart des investisseurs canadiens se demandent à un moment ou à un autre s’ils doivent aller de l’avant ou non avec une couverture des devises. Étant donné la taille relativement petite de notre économie (1,86 % du PIB mondial) et de notre marché boursier (3,13 % de l’indice MSCI marchés développés mondiaux), la diversification est essentielle. Toutefois, l’achat d’actifs étrangers entraîne un risque de change.

Dans cette deuxième et dernière partie de la série, nous nous penchons sur d’autres questions auxquelles les fournisseurs de FNB répondent rarement et nous examinons les performances des FNB en période de volatilité, les volumes de négociation et les ressources de recherche.

La popularité des FNB ne cesse de croître chez les investisseurs canadiens : un montant record de 53 milliards de dollars a été investi dans les FNB au Canada en 2021.

Au cours des dernières années, les séries FNB ont connu une croissance considérable. Essentiellement, une série FNB est tout simplement une version d’une fiducie de fonds commun de placement existante ou nouvelle, comme la série A ou encore la série D.

Au début de l’année 2022, nous avons eu un rappel de ce que la volatilité peut réellement signifier pour la performance. De nombreuses actions individuelles (particulièrement dans l’univers des actions de croissance) ont connu des baisses douloureuses par rapport à leurs sommets de 2021, et le Nasdaq a confirmé qu’il est entré en marché baissier.

Le rendement excédentaire et l’écart de suivi peuvent constituer des outils précieux au moment de tenter de mesurer la performance d’un FNB indiciel. Mais que signifient exactement ces termes?

L’une des premières décisions que prennent de nombreux investisseurs concerne la répartition des actifs de leur portefeuille : il s’agit généralement du pourcentage d’actions qu’ils détiennent par rapport aux actifs à revenu fixe.

Le style de placement peut souvent être le reflet du style de l’investisseur dans d’autres aspects de sa vie, qu’il s’agisse de ses choix vestimentaires, de ses passe-temps et même de ses choix alimentaires.

Laurent Boukobza Stratège en FNB

Le mot chinois pour désigner une crise — 危机 — est composé de deux caractères : l’un signifiant « danger », et l’autre, « occasion ».

Personne n’aime parler de ses pertes d’investissement, mais soyons honnêtes, même les investisseurs les plus avisés au monde en subissent de temps à autre.

Beaucoup d’investisseurs connaissent les fonds négociés en bourse, ou FNB. Toutefois, certains d’entre eux ignorent qu’il existe en fait trois catégories de FNB, et que les FNB peuvent faire bien plus que simplement reproduire le rendement d’un indice.

Étant donné que les marchés émergents représentent 80 % de la population mondiale et près de 70 % de la croissance du PIB mondial, ce segment de l’économie mondiale est tout simplement trop important pour être ignoré.

La popularité des FNB ne semble cesser de croître. Près de 320 milliards de dollars d’actifs sont actuellement détenus dans des FNB canadiens, une augmentation annuelle de 36,2 % . Les investisseurs canadiens ne se lassent vraisemblablement pas de cette option souple, peu coûteuse et très diversifiée.

« L’inflation actuelle n’est que transitoire. » Combien de fois avez-vous entendu cela dernièrement? Tant la Banque du Canada que la Réserve fédérale américaine se sont évertuées récemment à nous convaincre que la montée en flèche de l’inflation n’est que temporaire.

Même avant la COVID-19, l’investissement durable connaissait un essor. Pendant les deux années jusqu’à la fin de 2019, les actifs d’investissement responsable au Canada ont augmenté de 48 %

Comment des FNB indiciels apparemment similaires peuvent comporter des différences fondamentales — et comment repérer ces différences

Dans cette série d’articles, « Résoudre vos problèmes de placement », nous examinerons les principales préoccupations des conseillers et des investisseurs et proposerons certaines des meilleures solutions pour chacune d’entre elles.

Comment des FNB indiciels apparemment similaires peuvent comporter des différences fondamentales — et pourquoi vous devriez vous en soucier

Avec la population du Canada qui vieillit à un rythme rapide et les changements démographiques, disposer d’un revenu suffisant à la retraite devient une préoccupation importante pour les investisseurs.

La plupart des portefeuilles d’investisseurs comprennent des placements de base, qui suivent les marchés et visent habituellement à générer des rendements constants. Un fonds indiciel d’actions canadiennes en constitue un exemple.

On dit souvent qu’il est préférable d’investir dans ce que l’on connaît – Warren Buffett étant l’un des plus grands adeptes de ce conseil. Néanmoins, trop investir dans un secteur que vous connaissez bien peut nuire à votre santé financière.

Les investisseurs autonomes ont inondé les médias au début de 2021, lorsqu’un groupe d’entre eux a provoqué la forte volatilité de plusieurs actions (comme celles de GameStop).

Dans cette série d’articles, « Résoudre vos problèmes de placement », nous explorerons ces principales préoccupations et proposerons certaines des meilleures solutions pour chacune d’entre elles.

Les conseillers et les investisseurs ont différentes préoccupations lorsqu’il est question de faire fructifier leur patrimoine. Les marchés financiers d’aujourd’hui présentent plusieurs défis importants dont les investisseurs n’avaient pas à se préoccuper il y a environ 20 ans.

De nombreux investisseurs savent choisir des actions dans tout l’éventail de la capitalisation boursière tant canadienne qu’américaine. Il y a pourtant encore du travail à faire, tant sur le plan de la diversification que de la formation !

La répartition de l’actif est un ingrédient essentiel pour les investisseurs qui cherchent à maximiser le potentiel de croissance de leurs placements tout en gérant le risque. Elle peut représenter jusqu’à 92 % de la variation des rendements d’un portefeuille.

Au fil du temps, de par l’évolution des marchés, la répartition de l’actif d’un portefeuille s’écartera de la composition visée.

L’argent change de mains, fréquemment. Et de nouveaux fonds entrent en jeux, tout aussi fréquemment, nous l’espérons.

Avec le maintien attendu de la croissance du secteur des FNB, les investisseurs et les fournisseurs de fonds devraient apprécier la supervision continue de la part des organismes de réglementation de partout dans le monde.

J’ai récemment eu l’occasion d’effectuer une présentation à des investisseurs autonomes lors d’une conférence récente. En voici quelques faits saillants.

Le métier des fournisseurs de fonds consiste avant tout à instaurer la confiance, et la monétisation de la confiance évolue.

Le segment qui connaît la croissance la plus rapide au sein du secteur de la gestion d’actifs est celui des FNB, et cet élan semble vouloir se maintenir.

Plus de 80 % des conseillers interrogés en Amérique du Nord ont aujourd’hui recours aux FNB. Le nombre a plus que doublé au cours de la dernière décennie. Voici comment et pourquoi ils les utilisent, et de qui ils s’inspirent.

L’application d’un volet « FNB » à un mandat de placement ou à un portefeuille peut constituer un outil précieux pour les gestionnaires actifs, leur permettant de consacrer davantage de temps à ce qu’ils font de mieux – la sélection des titres.

Aujourd’hui, plus que jamais sans doute, les Canadiens ont besoin d’avoir confiance qu’ils peuvent réaliser leurs objectifs de placement et de retraite.